Après 260 ans, la pendaison de Marie-Josephte Corrivaux fait encore écho aujourd’hui grâce aux différents auteurs qui ont fait d’elle une sorcière.
Le contexte de l’époque et des recherches historiques nous laissent croire que ce sont des circonstances plus politiques, plus sordides dans un moment charnière de notre histoire qui ont conduit Marie-Josephte Corrivaux à l’échafaud en 1763.
L’Ensemble J’ay pris amours présente un concert évoquant la musique qu’auraient pu entendre les protagonistes de France, de la Nouvelle-France et aussi celle des Conquérants britanniques. Il y aura au programme des danses et complaintes puisées dans le répertoire des ancêtres de Marie-Josephte; des évocations de la découverte du Nouveau Monde, des extraits d’œuvres profanes et religieuses autour de la cour française et des théâtres anglais.
Ce sera donc un survol en musique de ce que pouvaient entendre les protagonistes de ces événements qui ont marqué par leur caractère tragique une société en train de basculer vers un nouveau régime.
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